Hommage à Mohamed Boudiaf, Président algérien, assassiné le 29 juin 1992 en direct à la télévision alors qu'il faisait son discours à Annaba. 18 ans après, ses assassins courent toujours; ils sont peut-être même gratifiés. Tout comme les assassins de l'auteur de cette chanson. Depuis sa tragique disparition, l'espoir démocratique s'amenuise de jour en jour.